L’éternité Génétique de l’Homo Sapiens
dans la Singularité d’expression abori-gène
De la structure atomique du diamant pur à l’art aborigène il n’y a qu’un pas… le déroulement structural d’un espace-temps, la libre expression du Moi Phronique, celui d’une vivance sophrologique dérivée des 5e, 6e, 7e et 8e degrés de la Méthode Caycedo.
L’entrainement adapté et abrégé des RDC 5, 6, 7 et 8 lors des entrainements entre sophrologues master spécialistes caycédiens a contribué en ce 6 Janvier 2018 à lever le voile sur notre conscience.
Ainsi la vivance ontogénétique de notre Être Sapiens a t’il pu révéler la présence de ce diamant pur caché en nous et donner forme – aborigène et primitive – au prolongement corporel artistique et rendu visible de notre mémoire génétique invisible..
Le phénomène rendu visible dans une phéno expression des plus libres qu’il soit, a donné forme, donné corps à la forme 1ère de notre Moi Phronique (notre biologie profonde, nos gènes) dans une expression troublante car étonnamment similaire à la structure atomique du diamant pur découvert en nous.
Ces traits, ces lignes ondulantes, ces mouvements prolongeant totalement notre plus profonde expression corporelle issue de l’éclat pur de ce diamant enfoui en nous comme une tête d’épingle, un atome d’éternité dans l’univers bleu nuit des ténèbres de notre conscience.
Etonnante similitude entre….. les dessins aborigènes cette civilisation la plus ancienne de l’humanité à la lumière de l’analyse scientifique d’un fragment d »ADN et la structure du diamant qui se révèle scientifiquement être un support « éternel » de stockage de données….. un disque dur d’éternité ….
Comme le dit Paul Klee : « L’art ne reproduit pas le visible, il rend visible » ou encore comme témoigne G. …Haag, les premières traces rythmées sont symboliques « dans la mesure où les racines cosmiques et biologiques de leurs formes entrent profondément dans les liens relationnels et identificatoires archaïques dont nous voyons mieux la genèse dans le moi corporel ».
Simone Korff-Sausse nous interroge aussi : « Quand il n’y a pas le langage, quand on se demande où est le sujet, que reste t’il ? L’artiste peintre Pollock ne nous propose t’il pas de revisiter ce premier temps de la constitution de la forme ? C’est exactement ce à quoi nous invitent les œuvres des aborigènes qui donnent une représentation de ces processus psychiques ».
Vous l’aurez compris,
l’entrainement radical de la Méthode Caycedo ne cesse de nous émerveiller,
car c’est un concentré accélérateur de prise de conscience des sources génétiques profondes de notre Être à travers l’Humanité.
© Sylvie Bayol Sophrologue Caycédienne 07/01/2018